The Man Holding the Elevator

Sergiu Lupse

Roumanie - 2017- Fiction burlesque - 6’30

 

Le réalisateur

Sergiu Lupse est né à Cluj-Napoca en Roumanie. Dès son plus jeune âge, il ressent une passion pour l'art, les images en mouvement et les récits visuels.

Il a étudié la vidéo et la photographie à l'Université des Beaux-arts de Cluj-Napoca, la cinématographie et le cinéma à l'Université Babes-Bolyai et a obtenu une maîtrise en cinéma expérimental et en design à l'Université nationale d'art de Bucarest (RO).

En 2008, il a été sélectionné pour le concours d'arts en résidence CEC Arts link à New York et Austin (États-Unis). Dans ce cadre, en 2009, il co-réalise et tourne Remnant avec Christian Raymond, cinéaste d’Austin. 

En 2013, il réalise Tatal Nostru, une courte comédie dramatique fortement récompensée en Roumanie. En 2014, il réalise Absent, un court métrage biographique sur la perte et les souvenirs déformés, puis en 2016, Octl, au réalisme magique. Il a également travaillé comme monteur et coloriste sur d'autres films courts.

Le travail cinématographique de Sergiu Lupse oscille entre fiction, animation et formes expérimentales. Ses films présentent souvent des histoires sur les manières de s’échapper du monde réel, la peur, la mort et les perceptions déformées. Ses personnages et ses histoires sont ancrés dans la vie quotidienne, mais cherchent une issue dans des mondes fantastiques, un lieu où la normale rencontre le surnaturel.

Il développe actuellement son premier long métrage.

 

Le film

Et si un ascenseur pouvait nous emmener ailleurs, en tout autre lieu et heure? C’est l’expérience qui va permettre de croiser et d’unifier la vie de trois hommes que rien ne semblait rapprocher.

La boîte carrée a aimé le décalage de ce récit vertical où il est précisément primordial de rester debout face à l'adversité! Trois hommes et un ascenseur donc, le temps d'un voyage quasi immobile empreint de saveurs surréalistes.

Lien(s)
le court-métrage The Man Holding the Elevator en sélection du plein de super 2018 par La boite carrée